Bonjour, je m'appelle Natty. Je m'intéresse à tout ce qui a à voir avec la féminisation, la sissification et la soumission guidée par un homme, et j'aimerais rencontrer des personnes qui aiment aussi l'un des deux rôles (lopette ou papa). Ici, je vous raconte le début de mon histoire.

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J'ai rencontré Roberto dans un club gay. Il était beaucoup plus grand que moi, mais il était évident qu'il faisait beaucoup d'activité physique et qu'il avait un corps bien bâti, que j'ai trouvé attirant dès le premier instant. J'avais 18 ans et j'avais encore des doutes sur mes préférences sexuelles, car à cet âge j'avais eu des expériences sexuelles avec une fille et un garçon. Roberto m'a invité à prendre un verre, m'a raconté des choses sur lui, m'a posé des questions sur ma vie et nous avons passé un bon moment à discuter de différents sujets. À un moment donné pendant la conversation, il m'a demandé si j'avais des fantasmes.

Je lui ai dit non et je lui ai demandé s'il en avait. Il m'a dit qu'il avait le fantasme de féminiser une ado de mon âge et d'en faire son amant. Je pense que j'ai rougi à ce moment-là, et Roberto a dû le remarquer, car il a changé de sujet. Plus tard, nous nous sommes dit au revoir et il m'a demandé mon numéro de téléphone. J'ai préféré lui donner mon adresse email, car je vivais chez mes parents et je ne voulais pas qu'ils répondent à l'appel.

Le lendemain, j'ai reçu le premier e-mail de Roberto. Le titre disait «J'aimerais te voir comme ça» et son contenu était une sélection de photos qu'il avait téléchargées sur Internet. J'ai commencé à regarder les photos avec curiosité. Il s'agissait de jeunes d'apparence androgyne (leurs visages avaient des traits féminins, leurs corps étaient minces et glabres, leurs cheveux étaient longs, leurs seins étaient petits, leurs hanches étaient plus larges que leur taille, lorsque le pénis était visible, il était petit et flasque).

Elles étaient habillées en femme, parfois simplement avec des sous-vêtements simples mais très féminins (roses ou fleuris), ou en lingerie érotique (nuisettes transparentes, bas porte-jarretelles, tongs sans queue, gants en dentelle, corsets serrés). D'autres fois, elles portaient un chemisier et une jupe courte (comme si elles étaient des écolières ou des secrétaires), ou une robe sensuelle et des chaussures à talons hauts. Leurs visages étaient maquillés (lèvres rouges, joues roses, cils bien marqués, sourcils fins), et leurs ongles des mains et des pieds étaient peints en rouge ou en rose. Leurs pénis, lorsqu'ils étaient visibles, étaient petits et flasques et, dans certains cas, ils portaient une sorte de petit dispositif de chasteté, en plastique transparent, qui empêchait l'érection.

Elles ont été photographiées dans des poses féminines, certaines plus timides (à genoux, levant les yeux, avec un geste de soumission, faisant une grimace enfantine), d'autres plus provocantes (à quatre pattes, cambrant le dos, sortant la queue et écartant les fesses avec leurs mains, comme s'ils s'offraient à la pénétration). J’étais très excité de m’imaginer dans cette situation. Je lui ai répondu par texto, lui racontant tout ce que j'avais ressenti en regardant les photos.

La légende du deuxième message disait "Je veux que tu fasses ces choses avec moi." Il s'agissait également de photos de jeunes à l'allure féminine, vêtues de lingerie féminine, mais sur chaque photo, elles interagissaient avec un ou plusieurs hommes. Le contraste entre les corps virils des hommes (musclés, poilus, épaules larges, pénis épais et dressés) rendait la féminité des jeunes hommes encore plus évidente.

Sur certaines photos, les jeunes étaient agenouillés en train de proposer du sexe oral à un homme, avec des visages de plaisir et de désir. Dans d'autres, elles étaient pénétrées par un homme dans l'une des positions suivantes (à quatre pattes, penchées sur une table ou un canapé, face vers le haut sur un lit, les jambes écartées et relevées). Dans certains cas, ils ont fait les deux simultanément, avec deux hommes ou plus. Parfois, les photos montraient ce qui semblait être une phase antérieure, au cours de laquelle le jeune homme efféminé recevait des caresses romantiques, ou une phase ultérieure, au cours de laquelle le jeune homme efféminé avait des traces de sperme sur les fesses, la bouche, le ventre ou la culotte du cou.

Parfois, le jeune homme efféminé avait les mains liées ou menottées derrière le dos, ou les pieds et les mains attachés à la tête de lit, ou encore un gagball dans la bouche. Cette fois, les photos m'ont tellement excité que j'ai commencé à me masturber, imaginant que c'était moi qui était habillée en femme, pénétrée par un homme, recevant le sperme dans ma queue ou dans ma bouche. J'ai écrit à Roberto ce qui m'était arrivé. Il a répondu : « Je suis content que vous ayez aimé les photos. Je vous invite à prendre un café. Appelle moi sur mon cellulaire."

J'ai ressenti un mélange de désir et de peur. J'ai appelé son téléphone portable et il m'a proposé de me rencontrer dans un bar à Palerme. Quand je suis arrivé, il était déjà à table et il m'a salué.

• C'est bien que tu sois venu. J'ai beaucoup pensé à toi ces jours-ci. Alors vous avez aimé les photos ?
• Oui, je les ai beaucoup aimés.
• Et tu aimerais faire ces choses avec moi ?
• Je ne sais pas, je serais un peu gêné.
• J'aime beaucoup ta timidité, mais tu n'as aucune raison d'avoir honte. Il n’y a rien de honteux à pouvoir se connecter avec sa propre part féminine. Je pense que tu pourrais te transformer en une belle fille, et je pourrais t'aider, si tu me le permettais.
• Comment m'aiderais-tu ?
• Comme s'il était ton professeur. Je vous propose des tâches, puis j'évalue la manière dont vous les réalisez. Si vous avez bien appris, je vous offrirai un cadeau qui vous plaira.
• Et si ça ne marche pas pour moi ?
• Dans ce cas, nous changerions la tâche pour une autre. Pensez-vous que ça va ?
• C'est bien.
• Je suis sûr que tu aurais fière allure en tant que fille. Avez-vous déjà un prénom féminin ?
• Non…
• Alors il faut en chercher un. Quels prénoms aimez-vous ?
• Laisse-moi réfléchir... J'en aime plusieurs : Paula, Laura, Natalia...
• Je pense que Natalia te conviendrait bien. Puis-je t'appeler Natty ?
• Bon.

Nous avons continué à parler pendant un moment, puis nous nous sommes dit au revoir. Les jours suivants, il m'a envoyé par e-mail plusieurs adresses Internet à consulter et quelques textes à lire. C'est ainsi que j'ai découvert les prénoms utilisés en anglais : « sissy » (diminutif de « sister », qui signifie sœur) est le nom de garçons qui ont des traits physiques et de personnalité plus féminins que masculins (ils sont timides, avec manières délicates, passive, soumise, craintive), et la « sissification » est le processus progressif de féminisation d'un garçon.

Les autres textes donnaient des recommandations sur différents thèmes de la féminisation : comment se maquiller, comment cacher les parties génitales, comment choisir des vêtements féminins, comment associer les accessoires (bracelets, boucles d'oreilles, colliers), comment entretenir la silhouette, comment obtenir une silhouette féminine. l'apparence féminine (rétrécissement de la taille, augmentation des seins et des hanches), comment porter des talons hauts, comment féminiser la gestuelle et la voix, comment porter des corsets.

D'autres recommandations étaient spécifiquement sexuelles : comment exciter un homme, comment sucer une bite, comment se préparer au sexe anal, comment avoir des orgasmes grâce à la stimulation anale. Je les lisais, imaginant chaque proposition en détail. Un soir, j'ai appelé Roberto au téléphone. Je lui ai dit que j'avais manqué d'entendre sa voix, il m'a dit que je lui manquais aussi. Nous avons discuté pendant un moment de différents sujets. Il m'a dit qu'il voulait vraiment me voir et m'a invité à visiter son appartement ce week-end. Samedi, j'ai demandé une excuse à mes parents et je suis arrivé tôt à leur appartement.

J'ai ressenti un mélange d'anxiété et d'excitation. J'ai touché l'interphone, il m'a dit d'entrer. J'ai pris l'ascenseur jusqu'à son appartement. Roberto m'a ouvert et m'a accueilli en souriant. Nous sommes allés dans le salon qui était assez grand. J'ai trouvé l'ambiance chaleureuse et accueillante. Elle était bien éclairée par une fenêtre qui donnait sur un balcon. Il y avait plusieurs fauteuils. Depuis le salon, vous pouvez accéder à la cuisine, à la chambre et à la salle de bain.

• Est-ce que tu lisais ce que je t'ai envoyé ?
• Ouais.
• J'ai des cadeaux pour toi. J'aimerais que tu ailles aux toilettes et que tu te prépares pour moi.

Dans la salle de bain, vous trouverez des articles pour vous épiler et vous maquiller. Vous trouverez également des vêtements à porter. Et j'aimerais vraiment que tu portes ça. Il m'a donné un appareil de chasteté, semblable à ceux vus sur les photos qu'il m'avait envoyées. Il était transparent, en forme de petit pénis flasque.

• Mais si je le mets, je ne pourrai pas me toucher...
• Non, mais tu pourras te concentrer sur d'autres sensations. Je serais très excité de voir à quoi cela vous ressemble. Fais le pour moi. Mettez-le et voyez comment cela se passe pour vous.
• OK, c'est bon.

Je suis entré dans la salle de bain, avec un mélange d'excitation, d'anxiété, de honte et de désir...

Les objets étaient dans un sac. J'ai passé du temps à me raser le corps, y compris mes aisselles et mon pubis. Quand j’ai fini, mon corps tout entier était doux au toucher. J'ai utilisé les techniques que j'avais apprises pour nettoyer l'intérieur de mon trou anal. Je me suis baigné, je me suis séché et je me suis coiffé. J'ai cherché le dispositif de chasteté que Roberto m'avait offert. Mon pénis était flasque à cause du bain, alors je l'ai mis facilement. Un anneau servait à le fixer aux testicules, et il était fermé par un petit cadenas. Quand je l'ai mis, j'ai commencé à être excité, mais l'appareil m'a empêché d'avoir une érection.

J'ai trouvé un parfum féminin au parfum floral dans mon sac et j'en ai mis. J'ai mis du fond de teint sur mon visage et peint mes lèvres d'un rouge profond, mes paupières d'un violet doux et mes joues d'un ton rose. J'ai cherché les vêtements dans le sac. Il y avait une culotte sans queue, une nuisette en soie rose transparente et des sandales à talons moyens. Je les ai mis et me suis regardé dans le miroir. Mon corps est mince, à la peau blanche et d’apparence plutôt androgyne. Avec l'aide du maquillage et de la lingerie, elle ressemblait à une adolescente dont les seins et les hanches ne s'étaient pas encore développés. J'ai aimé ce que j'ai vu et je me suis demandé : est-ce que Roberto m'aimera ?

J'ai quitté la salle de bain et Roberto m'attendait sur le canapé du salon. Lorsqu'il m'a regardé, il a pris un air de désir et m'a dit :

• Natty, tu es magnifique ! Viens t'asseoir avec moi.

J'ai ressenti du soulagement et du plaisir. Je me suis approché de la chaise et je me suis assis à côté de lui, mais j'ai préféré attendre qu'il prenne l'initiative. Il s'est approché de moi et m'a doucement caressé la jambe. J'ai ressenti un frisson de plaisir. Sa main remonta jusqu'à son entrejambe. Roberto a vérifié que j'avais le dispositif de chasteté et a souri, satisfait de mon obéissance. Il m'a attrapé par la taille et m'a attiré plus près de lui. J'ai senti la chaleur de son corps. Il a commencé à me faire des baisers dans le cou, puis avec sa langue, atteignant mon lobe d'oreille. Sa main droite a abaissé la bretelle gauche de la nuisette et a commencé à me pincer le téton. J'ai fermé les yeux pour me concentrer sur les sensations et j'ai commencé à gémir de plaisir.

• J'aime que tu gémisses, Natty. Tu ressembles à un chaton en chaleur.
• Mmmhhhh, comme c'est délicieux, continuai-je.

Roberto a abaissé l'autre sangle et a commencé à sucer et à mordre mes tétons. Je me sentais très excité, même si l'appareil m'empêchait d'avoir une érection. C'était pour moi une sensation étrange et inconnue, mais très agréable.

Il s'est arrêté et m'a attrapé par la taille. J'ai ouvert les yeux. Son visage était très proche du mien. Nous nous sommes regardés dans les yeux et nous nous sommes embrassés passionnément. J'ai senti sa langue entrer dans ma bouche, tandis que mes lèvres caressaient les siennes. Je me sentais très heureux et je voulais le récompenser du plaisir qu'il me procurait.

• Puis-je te déshabiller ? Dis-je.
• Bien sûr, Natty.

Je me suis assis et je l'ai regardé. Son visage était viril et attrayant. J'ai défait quelques boutons de sa chemise. Sa poitrine était large, couverte de poils. J'ai enlevé sa chemise. J'ai commencé à caresser son torse, les poils de sa poitrine, ses muscles bien marqués. Je l'ai trouvé très attrayant à regarder et à toucher.

"J'aime ton corps", lui dis-je.

Cela m'a excité de ressentir le contraste entre sa peau poilue et ma peau douce, entre son grand corps viril et mon corps mince et féminin.

J'ai déboutonné son pantalon et baissé la fermeture éclair. Elle avait des slips bleus. J'ai commencé à le caresser, sentant sa queue à travers le tissu. J'ai mis ma main sous le slip et je l'ai caressé doucement. J'ai commencé à baisser son pantalon et son slip, jusqu'à ce qu'il les enlève complètement. Je pouvais voir sa queue. Il n'était pas complètement dressé, mais il était quand même plus gros que le mien. Je l'ai pris avec ma main droite. C'était chaud. J'ai commencé à bouger ma main et elle a commencé à grandir rapidement. Le coffre est devenu dur. Il était épais et un peu courbé. Le gland s'est élargi et sortait du prépuce. Je voulais sentir son odeur et son goût.

• Mmmm, quelle délicieuse bite tu as ! Puis-je essayer?
• Bien sûr, Natty.

Je me suis agenouillé par terre, entre ses jambes. J'avais cette belle bite devant moi. L'arôme m'excitait, c'était semblable à l'odeur de la sueur mais plus doux. Quelques gouttes de précum sont apparues au bout. J'ai passé ma langue sur le bout et j'ai eu un goût salé. J'ai commencé à lécher sa bite, comme si c'était de la glace. Je l'ai mis dans ma bouche et j'ai commencé à le sucer, tout en regardant son visage avec plaisir. J'aimais penser que je l'excitais comme ça. J'ai passé doucement ma langue sur ses couilles, puis je suis revenue à sa queue.

J'ai essayé de le mettre entier dans ma bouche, lentement, tout en l'humidifiant avec ma salive. Je me suis arrêté juste avant d'avoir des haut-le-cœur. J'ai senti sa bite dure et chaude dans ma bouche pendant quelques secondes. Je l'ai retiré lentement, jusqu'à ce que je sois complètement séparé, et j'ai répété le processus. J'ai remarqué qu'il aimait ça, car il commençait à bouger pour accélérer le rythme. Je me suis adapté à son rythme, devenant de plus en plus rapide.

• Oui, comme ça, j'ai continué, Natty…

Je savais que si je continuais, je le ferais éjaculer. Je me sentais tellement excité que je ne voulais pas m'arrêter. Soudain, il a commencé à projeter plusieurs jets de sperme dans ma bouche. J'avalais le sperme mélangé à ma propre salive. J'ai laissé un moment les dernières giclées dans ma bouche, pour les savourer et sentir leur consistance avant de les avaler. Le goût était salé et agréable. J'ai utilisé ma langue pour nettoyer les restes de sperme restés sur son gland. Sa queue perdait son érection.

Roberto m'a tiré vers son corps et nous nous sommes embrassés. Il m'a suggéré d'aller dans sa chambre.

Nous sommes allés dans la chambre. J'ôtai mes sandales et m'allongeai sur le drap. Roberto s'est assis à côté de moi et a commencé à me caresser les jambes. Il a attrapé mes hanches et m'a retourné jusqu'à ce que je sois face contre terre. Il a commencé à me caresser doucement la queue. Il a placé un oreiller sous mon ventre et a baissé ma culotte jusqu'à mes cuisses. La nuisette était courte et couvrait à peine mes fesses. Roberto a commencé à passer sa langue sur mes fesses. J'ai fermé les yeux et j'ai commencé à gémir de plaisir. Je sentais sa salive mouiller mes fesses. J'ai senti sa langue courir le long du sillon entre mes joues, mouiller mon trou anal, essayant d'entrer. C'était très agréable.

Roberto a pris un lubrifiant sur la table de nuit et a mis une giclée entre mes fesses. Avec son doigt, il commença à l'étaler. Il s'est allongé sur moi et a commencé à frotter sa bite entre mes fesses. Cela m'excitait beaucoup et me donnait envie qu'il me pénètre. Je sentais son corps contre le mien, sa chaleur. Il a commencé à m'embrasser le cou et l'oreille. Il a placé le bout de sa queue dans mon trou anal. J'ai relevé ma queue et écarté mes fesses pour m'ouvrir à lui. Je lui ai demandé de le faire avec soin. Il m'a lentement pénétré.

Sa queue était très dure, le gland avait considérablement grossi, et ça faisait mal en entrant. J'ai crié, mais lorsque le gland était à l'intérieur, j'ai senti sa queue glisser en moi facilement grâce au lubrifiant, et j'ai commencé à gémir de plaisir. Cela m'excitait de sentir sa bite en moi, de sentir que je lui donnais du plaisir comme le ferait une femme.

• Tu aimes Natty ? Est-ce que tu aimes que je te baise ?
• Oui, j'adore. Je veux que tu me fasses sentir comme une femme.
• Tu es ma petite pute, Natty. Je vais te faire jouir comme une femelle en chaleur.
• Oui, je suis ta pute. Je suis à toi. Continue comme ça, prends-moi, mets-le au plus profond de moi.

Roberto m'a pris par les hanches et a soulevé ma queue, sans me séparer. Je suis resté à quatre pattes, les genoux écartés. Il continuait à bouger ses hanches, rendant les pénétrations plus profondes et plus rapides. Je sentais l'impact de son corps sur mes fesses à chaque poussée. Mon pénis était encore flasque à l'intérieur du dispositif de chasteté, mais ce que Roberto m'avait dit était vrai : les sensations internes étaient bien plus agréables et intenses que tout ce que j'avais connu auparavant. J'avais l'impression que si je maintenais ce rythme, j'allais avoir un orgasme. J'ai continué à gémir et à crier de plaisir.

• Tu veux mon lait, Natty ?
• Oui, donne-moi ton lait, remplis-moi de lait, fais-moi le tien.
• J'aime ça. Prends mon lait, petite pute.

J'ai senti mon corps atteindre le point maximum de plaisir. Roberto a bougé rapidement pendant quelques secondes supplémentaires, puis a donné quelques poussées plus profondes et plus lentes pour décharger son sperme en moi. J'ai ressenti un état de détente et de bonheur complet. Roberto s'écarta peu à peu et s'allongea sur le dos. Je suis tombé sur le lit, les muscles relâchés et le sourire aux lèvres. J'ai senti le sperme couler entre mes fesses, et j'ai remarqué que j'avais également déversé mon sperme dans l'appareil de chasteté : c'était mon premier orgasme exclusivement anal, sans aucune stimulation génitale. Je me suis blotti à ses côtés et j'ai commencé à caresser sa poitrine poilue et musclée.

• Roberto, tu m'as fait ressentir des choses que je n'avais jamais ressenties auparavant.
• Natty, tu es très féminine, et ça m'excite beaucoup. J’aimerais beaucoup que vous continuiez à explorer votre côté féminin.
• J'aimerais aussi…

Au bout d'un moment, nous avons pris une douche ensemble. On se savonne. J'étais très heureuse.

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